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Publié le par Handi@dy

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"La nourriture de fast-food favoriserait l'apparition d'Alzheimer

Il y a 17 heures

STOCKHOLM (AFP) — Un régime riche en sucre, graisse et cholestérol, typique de la nourriture de fast-food, pourrait favoriser l'apparition de la maladie d'Alzheimer, d'après une étude de l'Institut de recherche Karolinska à Stockholm publiée vendredi.

Des chercheurs ont ainsi étudié le comportement de souris génétiquement modifiées, après leur avoir donné pendant neuf mois une nourriture riche en graisse, sucre et cholestérol.

"En examinant le cerveau de ces souris, nous avons découvert une modification chimique, similaire à celle observée dans le cerveau des malades d'Alzheimer", a expliqué Susanne Akterin, auteur de l'étude, dans un communiqué de l'institut.

Parmi les changements observés, les chercheurs ont notamment noté une augmentation de phosphates, empêchant certaines cellules de fonctionner normalement.

Ils ont également observé qu'une quantité importante de cholestérol dans la nourriture réduisait la présence d'une protéine du cerveau, appelée Arc, impliquée dans le processus de "stockage" de la mémoire.

Ces souris avaient précédemment subi des modifications génétiques pour imiter l'effet d'une variante d'un gène humain appelée apoE4, qui constitue l'un des grands facteurs de risques de la maladie et dont l'une des fonctions est de transporter le cholestérol.

"Nous pensons désormais qu'un apport massif de graisse et de cholestérol, combinée à d'autres facteurs comme l'apoE4, peuvent affecter plusieurs substances du cerveau, ce qui peut être une des causes de développement de la maladie d'Alzheimer", a-t-elle ajouté.

Des études précédentes avaient montré un lien possible entre le régime alimentaire et l'apparition de cette maladie.

Alzheimer et les troubles apparentés touchent plus de 24 millions de personnes dans le monde (860.000 en France avec 165.000 nouveaux patients par an) et ce chiffre "va doubler tous les 20 ans", selon un rapport de l'OMS."




elmoudjahid.com/
Sclerose en plaques : de quoi s'agit-il ?
29-11-2008 à  20:48 EL MOUDJAHID
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image D.R.

VRAI/FAUX

"La sclérose en plaques est une maladie contagieuse.
Faux. La SEP n'est pas une maladie contagieuse : elle ne peut pas être transmise par un patient a différente personnes de son entourage. Les maladies contagieuses sont,en effet des maladies liées à un agent infectieux qui se développe au sein de l'organisme. Elles peuvent se propager à l'entourage de la personne malade, ce qui n'est pas le cas de la SEP.

La SEP est une maladie héréditaire.
Faux. Contrairement à certaines maladies comme les myopathies ou l'hémophilies, la SEP n'est pas une maladie héréditaire. Il s'agit d'une maladie qui nécessite plusieurs : un terrain génétique favorable combiné à l'intervention d'agents environnementaux externes.
Ce terrain génétique favorable est lié à l'existence de facteurs génétiques dont certains seulement sont aujourd'hui connus .ces facteurs génétiques rendent le système immunitaire plus vulnérable a l'action des facteurs environnementaux . C'est pourquoi le risque pour un père ou une mère atteint de SEP de transmettre sa maladie à l'un de ses enfants est très légèrement supérieur au risque de survenue de la SEP dans la population générale. Mais le risque pour une femme ou homme atteint de SEP de transmettre sa maladie à son enfant n'est même pas supérieur au risque pour un couple normal d'avoir un enfant porteur d'une malformation quelconque à la naissance.
C'est pourquoi une grossesse est tout à fait envisageable au sein d'un couple dont l'homme ou la femme est atteint de SEP.

La SEP est uniquement une maladie des pays du nord.
Faux. La SEP est une maladie qui touche des personnes de presque tous les pays.
Cependant, il est vrai que la SEP est de plus en plus fréquente au fur et à mesure que l'on s'éloigne de l'équateur pour aller vers le nord.

Le tabac pourrait jouer un rôle dans la SEP.
Vrai. De plus en plus d'études tendent à montrer qu'il existe effectivement un risque plus élevé de SEP chez les fumeurs que chez les non fumeurs. Il semble aussi que l'évolution de la maladie soit influencée par le tabac, avec un risque de plus en plus grande activité de la maladie chez les fumeurs.

La recherche sur la SEP, n'avance pas.
Faux. De nombreuses équipes de chercheurs travaillent dans le monde entier sur la SEP, et les progrès réalises dans la connaissance de cette maladie ont été considérables au cours de ces 10 dernières années (plus de 3700 publications entre 1990 et 1994, plus 5500 publications entre 1995 et 1999 et plus de 9550 publications entre 2000 et 2005). Les découvertes au niveau de le recherche fondamentale continuent de progresser et favorisent une meilleure compréhension des mécanismes en jeu.
En 2005, plus de 75 essais thérapeutiques de phases II et III sont en cours dans le monde. Le processus à suivre pour mettre un nouveau traitement à la disposition des personnes atteintes d'une maladie est long, coûteux et difficile.

- Sur 10 000 molécules identifiées comme potentiellement intéressantes, 100 seulement seront testées chez l'animal, 10 pourront êtres évaluées chez l'homme et une seule parviendra à franchir les étapes de ce long chemin et sera commercialisée.
- Lorsqu'une molécule est identifiée comme intéressante pour traiter une maladie ou un symptôme des premières étude sont menées chez l'animal afin d'évaluer sa toxicité éventuelle et de valider ses effets.
- Viennent ensuite les différentes phases de développement clinique chez l'homme. Des études dites de phase I sont réalisées chez le volontaire sain pour mettre au point la posologie idéale du traitement ( efficace et bien tolérée). Puis des études de phase II sont initiées chez des personnes atteintes de la maladie afin d'évaluer l'efficacité du traitement.
- Une fois cette étape passée, des études de phase III à large échelle sont mises en place pour comparer l'efficacité du et la tolérance du nouveau traitement avec celles des traitements habituellement utilisés ou un placebo.

Les étapes de développement d'un traitement sont donc très nombreuses et nécessitent beaucoup de temps avant qu'un laboratoire pharmaceutique puisse envisager de déposer un dossier auprès des autorités pour obtenir une autorisation de mise sur le marché. Dans les cinq prochaines années, de nouvelles molécules prometteuses devraient voir le jour.

On ne connaît pas la cause de exacte de la maladie.
Vrais. Chez un patient qui présente un terrain favorable, la rencontre avec un agent d'environnement pourrait dérégler le système immunitaire, système de défense qui agresse ensuite le système nerveux et déclenche la maladie. Un certain nombre de gènes et de facteurs environnementaux (climat,alimentation,infection virales,pollution,etc.)sont identifiés mais, d'une personne à une autre, la cause de la maladie pourrait être différente.

Les amalgames dentaires déclenchent la SEP et les poussées.
Faux. Bien que chez certains patients une SEP se soit déclarée quelque temps après la pose d'amalgames dentaires, il n'existe pas, à ce jour, d'arguments permettant de dire que ces deux évènements sont liés.
La toxicité suspectée des amalgames dentaires provient des métaux qui les composent :50% de mercure, 30% d'argent, et d'autres métaux en moindre quantité. Le mercure constitue le suspect principal. Il n'est pas susceptible de donner des atteintes inflammatoires du système nerveux central (SNC), et son taux n'est pas augmenté dans le cerveau des patients atteints de SEP. Il n'existe pas à ce jour de données sur l'impact immunologique du mercure et il n'y a pas d'études de méthodologie satisfaisante concernant l'impact de l'ablation des amalgames dentaires sur l'activité de la maladie.

image La sclérose en plaques est une maladie auto-immune où le système immunitaire attaque la matière blanche du système nerveux central. A certains endroits du cerveau et/ou de la mœlle épinière se produit une réaction inflammatoire qui détruit la gaine de my

La sclérose en plaques est une maladie auto-immune où le système immunitaire attaque  la matière blanche du système nerveux central. A certains endroits du cerveau et/ou de la mœlle épinière se produit une réaction inflammatoire qui détruit la gaine de myéline qui entoure les nerfs. A ces endroits, les tissus peuvent soit se réparer,  soit évoluer vers une cicatrice : ils se "sclérosent" par "plaques". La conduction de l’influx nerveux est alors ralentie, voire complètement empêchée.

Symptômes  de la sclérose  en plaques

Chaque SEP est différente.
Vrai. La SEP n’évolue pas de la même façon d’une personne à l’autre, et les signes de la maladie peuvent être différents.
Il existe plusieurs formes d’évolution de la maladie :

- les formes rémittentes sont les plus fréquentes notamment au début de la maladie. Elles se caractérisent par la survenue de poussées plus ou moins espacées.
L’évolution de la maladie au cours de ces formes rémittentes est très variable selon les personnes. Il existe en particulier des formes dites « bénignes », qui n’évoluent quasiment pas dans le temps.
- les formes progressives sont moins fréquentes et se caractérisent par une accentuation progressive des symptômes, sans que l’on puisse identifier de poussées.

Certains patients commencent d’emblée par une forme progressive alors que d’autres développent une forme progressive après plusieurs années d’évolution par poussées.
Chez ces derniers, la survenue de poussées reste possible.
Les symptômes pouvant survenir au cours d’une SEP sont multiples et dépendent de la localisation des lésions dans le cerveau, dans la moelle épinière ou dans le système visuel. Il peut s’agir, par exemple, de troubles moteurs, de troubles la sensibilité,de la vue, de l’équilibre, de troubles urinaires ou sexuels et de troubles intestinaux.
 

Les fuites urinaires sont fréquentes en cas de SEP.
Vrai. Ces troubles sont très fréquents au cours de la SEP : 8 patients sur 10 présenteront un jour ou l’autre des troubles urinaires en raison d’un mauvais fonctionnement de la vessie. Les symptômes urinaires sont de deux ordres : incapacité à retenir l’urine (fuites occasionnelles) ou difficultés à vider la vessie (dysurie). D’autres troubles sont parfois associés : besoins impérieux d’uriner, mictions très fréquentes, en particulier la nuit, perte d’urine lors d’un effort physique. Ces symptômes sont la plupart du temps facilement améliorés par les traitements. Dans les cas les plus gênants, ils peuvent nécessiter une prise en charge spécialisée afin d’éviter le survenue de complications et, en particulier, d’infections urinaires.
Certains troubles urinaires comme les fuites d’urine peuvent être améliorés par une rééducation spéciale. Cette rééducation est pratiquée par un kinésithérapeute spécialement formé à différentes techniques consistant à apprendre à retenir l’urine plus longtemps et à vider sa vessie par simple contraction des muscles abdominaux. 

«Je suis tout le temps fatigué ; c’est sûrement psychologique».
Faux. La fatigue est un signe extrêmement fréquent chez les patients atteints de SEP : plus des trois quarts des patients s’en plaignent à leur médecin traitant. Cette fatigue a de multiples causes : la maladie elle-même , la fatigue musculaire qui survient au moment d’efforts physiques et qui peut imposer la mise au repos, la fatigue liée au handicap et aux efforts supplémentaires nécessaires pour accomplir une tâche ou un déplacement, celle liées aux médicaments, à l’anxiété et au stress générés par la maladie, ou encor à des troubles du sommeil. Mais la fatigue peut également être un symptôme a part entière de la maladie et faire l’objet de traitements particuliers. Les personnes atteintes de SEP la décrivent comme une fatigue permanente, indépendante de l’effort physique; elle est souvent ressentie différemment d’un patient à l’autre. 

On peut avoir des troubles de la mémoire et de l’attention quand on a une SEP.
Vrai. Des études nombreuses et récentes ont montré que 50 à 60% des personnes présentant une SEP ont des troubles de la mémoire, de la concentration ou de l’attention. Ces troubles peuvent survenir tôt. Ils sont généralement modérés et difficiles à détecter, mais leurs répercussions sur les activités de la vie quotidienne et professionnelle peuvent devenir importantes. L’anxiété ou une dépression peut augmenter ces troubles. Il est recommandé de les signaler au médecin pour envisager un éventuel traitement. 

Des douleurs peuvent être associées à la SEP.
Vrai. Comme la fatigue, la douleur est un symptôme fréquent au cours de la SEP. Elle peut survenir très précocement, des la première poussée. Ces douleurs peuvent revêtir différentes formes :il peut s’agir de contractures -contractions anormalement importantes de certains muscles-,d’une sensation de brûlure ou de piqûre, ou encore de spasmes. Il est important de les signaler à son médecin, car il existe aujourd’hui toute une série de moyens efficaces pour lutter contre ces symptômes douloureux, parmi lesquels on compte la rééducation et des traitements médicamenteux. 

La SEP peut provoquer des troubles sexuels.
Vrai. Dans certains cas , la SEP perturbe la relation au sein du couple et ne permet plus de faire l’amour aussi souvent qu’avant. La SEP peut entraîner des troubles physiques, comme une difficulté a maintenir une érection, ou une sécheresse vaginale pouvant se révéler douloureuse au cours des rapports. Certains patients perdent confiance en eux et sont gênés de leur corps vis-à-vis de leur partenaire. L’anxiété, la fatigue, la douleur et la dépression sont autant de symptômes qui peuvent être atténuées pour permettre malgré tout une vie sexuel. Ces difficultés peuvent être atténuées pour permettre malgré tout une vie sexuelle satisfaisante grâce à des traitements médicamenteux ou non. 

Les bains froids soulagent les douleurs.
Vrai. Les bains froids (ou balnéothérapie) permettent de refroidir le corps. Ce refroidissement du corps a pour effet une amélioration des douleurs, de la spasticité ( raideur souvent douloureuse des membres) et de l’état général. Certaines personnes atteintes de SEP prennent un bain froid avant de sortir de chez elles, car elles savent qu’elles seront plus en forme après. La durée de cet effet bénéfique est variable ;il peut durer plusieurs heures. 

La chaleur aggrave la SEP.
Faux. L’exposition à la chaleur et la fièvre ne modifient pas l’activité de la maladie, c’est-à-dire qu’elles ne déclenchent pas de poussées. Elles sont néanmoins susceptibles d’accentuer certains symptômes de façon transitoire.
Beaucoup de personnes atteintes de SEP ont l’impression que la chaleur augmente leurs symptômes . il est vrai que la chaleur peut même entraîner une accentuation parfois importante des symptômes de la maladie. Chez les personnes ayant une sensibilité particulière à l’augmentation de température, il est recommandé d’éviter les bains chauds et l’exposition au soleil.
Pour mieux supporter la chaleur, il est recommandé de privilégier toutes les situations qui permettent un refroidissement du corps :éviter au maximum les situations ou il fait chaud ( bains de soleil, séjours trop prolongés dans une pièce ou une voiture chauffée, douches ou bains chauds, etc.) , appliquer des linges mouillés sur le front, prendre des bains froids,boire des boissons fraîches,fréquenter dans la mesure du possible des pièces climatisées.

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La SEP en Autriche:


Multiple Sklerose Gesellschaft Wien


Contact d'une association de patients :
Dr Ursula HENSEL
Hernalser Hauptstraße 15-17
1170
WIEN
AUTRICHE site assoce SEP!
http://www.msges.at/




"En Suède, pays de neuf millions d'habitants, 90.000 personnes sont atteintes de cette maladie, selon l'institut Karolinska.

www.rivierabiz.com

Le CHU de Nice dans le "Palmarès 2008" du Nouvel Observateur     
Jean-Pierre Largillet, le 28 novembre 2008
   

A partir de statistiques émanant du PMSI (Programme de Médicalisation des Systèmes d'Information), l'équipe d'experts du magazine Le Nouvel Observateur a sélectionné dans les secteurs public et privé 200 établissements sur les 1600 passés au crible. Et ce dans 70 pathologies. On pourra trouver sur le magazine papier ainsi que sur son site Internet, les classements nationaux mais également les classements par grands secteurs géographiques français, dont celui du Sud-Est.

 

Dans ce palmarès 2008, le CHU de Nice est cité plusieurs fois. Il est notamment reconnu dans ses activités d’excellence : Gastroentérologie (10e) ; Chirurgie du cancer colorectal (24e) ; Neurologie accident vasculaire cérébral (12e) ; Sclérose en plaques (14e) ; Rhumatologie polyarthrite rhumatoïde (12e). Le palmarès 2008 souligne d'autre part la place "incontournable des CHU dans les domaines les plus sophistiqués". Du baume au cœur de l'établissement niçois.

 Consulter "Le palmarès 2008 des hôpitaux et cliniques (Enquête du Nouvel Observateur)"




www.radio-canada.ca

"Conditionnement physique
Un projet novateur pour les personnes handicapées
   
    Mise à jour le jeudi 27 novembre 2008, 18 h 35 .


Programme de conditionnement physique au Maxi Club
Le centre de conditionnement physique Maxi Club à Sherbrooke propose une expérience inédite à cinq personnes handicapées qui se déplacent en fauteuil roulant. Un programme d'entraînement a été conçu pour répondre à leurs besoins.

La kinésiologue Magda Marszalik explique que chaque personne effectue les exercices proposés en respectant ses limites.

Le Maxi Club se lance dans cette aventure en s'appuyant sur son expérience auprès d'autres clientèles particulières. Le centre offre déjà des programmes de conditionnement physique adaptés aux personnes atteintes de cancer, de la maladie de Parkinson et de la sclérose en plaques.

Marie-Josée Kéroack, une cliente handicapée qui est à l'origine du projet-pilote, explique qu'un tel programme permet également de créer un réseau social et d'accroître la valorisation personnelle.



Actualité Douai

"« Espoir en tête » avec le Rotary a aidé la recherche sur le cerveau

SOLIDARITÉ |

Pour contribuer à l'action nationale en faveur de la recherche sur le cerveau, le Rotary de Douai avait convié ses sympathisants à la projection, dans une salle du Majestic, du film produit par Walt Disney Nature « Les ailes pourpres, le mystère des flamants roses ».

 

Les petites eaux font les grandes rivières. Mardi, dans 300 salles de cinéma à travers la France, 8O OOO spectateurs étaient réunis à l'appel du Rotary pour une opération d'envergure appelée « Espoir en tête », destinée à contribuer financièrement à la recherche sur les maladies neurologiques.

Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques, sclérose latérale amyotropique, atropie multisystématisée, Huntington, la liste est longue des affections du cerveau qui concernent trois millions de personnes dans notre pays. Au plan national, cette manifestation devrait générer près de 800 000 E au profit de la recherche sur la neuropathologie. Douai n'a pas ménagé sa peine pour accrocher un maillon à cette chaîne de solidarité.

Adjoint au gouverneur du district 1870 et responsable de la région Douai-Cambrai, Yves Dubus a présenté le Rotary International. Une organisation soutenue par un million deux cent mille professionnels. Partout dans le monde, ces femmes et ces hommes offrent leur énergie et mettent leurs compétences au service des autres.

Avant-première

De son côté, la Fondation Rotary développe des programmes d'aide et subventionne des opérations qui visent à rapprocher les peuples. Sans oublier l'éducation, l'accès à la santé, l'alimentation des plus nécessiteux. Autre point fort, depuis vingt ans le Rotary mène un combat acharné pour l'éradication de la poliomyélite dans le monde. Ils sont une centaine de Rotariens à Douai à partager ces convictions et à vivre cet idéal.

Alain Bavière, l'un de ses membres, a présenté l'action menée en faveur du soutien scolaire et à la lutte contre l'illettrisme, notamment à la maison des enfants, rue du Clocher-Saint-Pierre. Suivait en avant première (sortie le 17 décembre) le documentaire retraçant la vie pendant un an de flamants roses dans le fragile écosystème qui les entoure. Un autre combat pour l'humanité."




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