SEPiens vaccinés (hépatite B): à lire!!! « Le Dossier Noir du Vaccin contre l’Hépatite B, mensonge d’Etat ? »
Pour étayer notre recherche de la vérité:
Un article paru aujourd'hui qui présente un livre et des arguments scientifiques, réfléchis, et une logique implacable. Un dossier bien maîtrisé qui s'appuie sur des faits, des témoignages, et sur un dossier d'instruction.
Je cite:
Extraits:
"« La vaccination massive contre l’hépatite B dans les années 90 a fait des ravages dans la population. Elle n’y a pas déclenché que des scléroses en plaques comme on l’entend dire de tous côtés, mais toutes sortes de graves maladies, parfois mortelles, au minimum handicapantes, qu’elles soient hématologiques, rhumatismales et/ou auto-immunes, et à tous les âges.
(...)
Auteure du "Dossier Noir du Vaccin contre l’Hépatite B", j’ai perdu mon mari en 1999. Il avait été vacciné en 1996 sans autre raison que sa récente situation de retraité. On vaccinait alors à tout va, et les retraités étaient ciblés comme population à risque : ils voyageaient.
(...)
Pire que la mort fut le calvaire de plus de deux ans et demi qui le conduisit progressivement et implacablement à une paralysie totale.
(...)
Révoltée par tant de souffrance, d’indifférence et d’irresponsabilité, j’ai décidé , après la mort de mon mari d’enquêter moi-même et de témoigner. Je savais d’avance que toutes les portes me seraient fermées, mais j’avais un atout : ma propre plainte au pénal qui me donnait accès au dossier d’instruction. Contrairement aux magistrats, aux experts et aux avocats, je n’étais pas liée par le secret de l’instruction. Donc je parlerais. J’avais même le devoir de le faire. Contre l’incrédulité dominante, car ce que je découvrais était en effet incroyable, j’ai travaillé le dossier, recueilli de multiples témoignages, comparé des destins absolument similaires à travers la France, réuni une documentation, et écrit un témoignage(1) dont, j’espère, chacun reconnaîtra le sérieux. En tout cas, depuis sa sortie en librairie, il n’a reçu aucun démenti de qui que ce soit, mais plutôt de nombreux encouragements. J’ajoute que la justice dispose d’une expertise qui confirme absolument mes doutes, mais le lecteur pourra constater que cela ne suffit pas nécessairement en face de la puissance des laboratoires.
(...)
Mais j’accuse les pouvoirs publics -ministres de la Santé notamment et Philippe Douste-Blazy en tête- d’avoir lancé une campagne de vaccination massive sans aucune précaution et sans assurer aucun suivi (la pharmacovigilance a même perdu de vue 99% des enfants vaccinés dans les collèges !), d’avoir menti et de continuer à mentir. Quelques exemples :
1) les chiffres truqués en 1994 pour faire croire à une épidémie "plus grave que le Sida"
2) la salive présentée comme vecteur de contamination pour gagner le "marché des collèges" (ils parlent ainsi), effrayer les parents (et même les grands-parents) et les inciter à se faire eux aussi vacciner
3) l’innocuité proclamée du vaccin pour les nourrissons au prétexte qu’ils n’auraient pas de myéline (mais elle se forme peu à peu et le vaccin attend son heure, tout simplement !
(...)
la réduction des cas d’accidents vaccinaux à la seule sclérose en plaques (elle permet de camoufler derrière la SEP une multitude d’autres pathologies, la plus grave notamment : la SLA, ou les aplasies médullaires (destruction de la moelle) qui ont tué au moins une douzaine d’adolescents), d’éviter de comptabiliser les cas et donc de faire des recherches, d’économiser aussi sur les indemnisations (il y en a eu très peu, mais il y en a eu, preuve que l’Etat, au grand dam des laboratoires, reconnaissait l’accident post-vaccinal).
8) le chantage à l’inconséquence des Français qui seraient les seuls au monde à se plaindre d’accidents vaccinaux (il y a des dizaines de milliers d’accidents aux Etats-Unis, au Canada, en Italie, dans tous les pays qui ont massivement vacciné. Très peu au contraire en Grande-Bretagne qui n’a vacciné que 5% de sa population
(...)
la thèse assez désagréable selon laquelle il valait la peine de faire un "déchet" (sic) de quelque milliers de victimes pour en sauver des millions (de quoi ? d’un virus qui avait pratiquement disparu avec les mesures prises pour enrayer le Sida et les maladies nosocomiales transmises par une mauvaise gestion du sang).
(...)
"Le Dossier Noir" montre aussi comment l’assurance-maladie a été ruinée, non seulement par la campagne de vaccination elle-même (où P.D.B a joué un rôle majeur) mais par la montée astronomique des affections de longue durée (ALD) qu’elle a occasionnées depuis 1996
*CLIC: « Le Dossier Noir du Vaccin contre l’Hépatite B, mensonge d’Etat ? », éditions du Rocher, octobre 2004
*LIRE AUSSI, en complément, La vaccination contre l’hépatite B : une affaire de racaille ? sur une tribune citoyenne.
Un article paru aujourd'hui qui présente un livre et des arguments scientifiques, réfléchis, et une logique implacable. Un dossier bien maîtrisé qui s'appuie sur des faits, des témoignages, et sur un dossier d'instruction.
Je cite:
« Je montre comment nos organismes de santé publique et nos institutions médicales les plus prestigieuses ont camouflé pendant plus de dix ans un scandale encore plus grand (de l’avis des spécialistes) que celui du sang contaminé. »
Lucienne FOUCRAS"
Extraits:
"« La vaccination massive contre l’hépatite B dans les années 90 a fait des ravages dans la population. Elle n’y a pas déclenché que des scléroses en plaques comme on l’entend dire de tous côtés, mais toutes sortes de graves maladies, parfois mortelles, au minimum handicapantes, qu’elles soient hématologiques, rhumatismales et/ou auto-immunes, et à tous les âges.
(...)
Auteure du "Dossier Noir du Vaccin contre l’Hépatite B", j’ai perdu mon mari en 1999. Il avait été vacciné en 1996 sans autre raison que sa récente situation de retraité. On vaccinait alors à tout va, et les retraités étaient ciblés comme population à risque : ils voyageaient.
(...)
Pire que la mort fut le calvaire de plus de deux ans et demi qui le conduisit progressivement et implacablement à une paralysie totale.
(...)
Révoltée par tant de souffrance, d’indifférence et d’irresponsabilité, j’ai décidé , après la mort de mon mari d’enquêter moi-même et de témoigner. Je savais d’avance que toutes les portes me seraient fermées, mais j’avais un atout : ma propre plainte au pénal qui me donnait accès au dossier d’instruction. Contrairement aux magistrats, aux experts et aux avocats, je n’étais pas liée par le secret de l’instruction. Donc je parlerais. J’avais même le devoir de le faire. Contre l’incrédulité dominante, car ce que je découvrais était en effet incroyable, j’ai travaillé le dossier, recueilli de multiples témoignages, comparé des destins absolument similaires à travers la France, réuni une documentation, et écrit un témoignage(1) dont, j’espère, chacun reconnaîtra le sérieux. En tout cas, depuis sa sortie en librairie, il n’a reçu aucun démenti de qui que ce soit, mais plutôt de nombreux encouragements. J’ajoute que la justice dispose d’une expertise qui confirme absolument mes doutes, mais le lecteur pourra constater que cela ne suffit pas nécessairement en face de la puissance des laboratoires.
(...)
Mais j’accuse les pouvoirs publics -ministres de la Santé notamment et Philippe Douste-Blazy en tête- d’avoir lancé une campagne de vaccination massive sans aucune précaution et sans assurer aucun suivi (la pharmacovigilance a même perdu de vue 99% des enfants vaccinés dans les collèges !), d’avoir menti et de continuer à mentir. Quelques exemples :
1) les chiffres truqués en 1994 pour faire croire à une épidémie "plus grave que le Sida"
2) la salive présentée comme vecteur de contamination pour gagner le "marché des collèges" (ils parlent ainsi), effrayer les parents (et même les grands-parents) et les inciter à se faire eux aussi vacciner
3) l’innocuité proclamée du vaccin pour les nourrissons au prétexte qu’ils n’auraient pas de myéline (mais elle se forme peu à peu et le vaccin attend son heure, tout simplement !
(...)
la réduction des cas d’accidents vaccinaux à la seule sclérose en plaques (elle permet de camoufler derrière la SEP une multitude d’autres pathologies, la plus grave notamment : la SLA, ou les aplasies médullaires (destruction de la moelle) qui ont tué au moins une douzaine d’adolescents), d’éviter de comptabiliser les cas et donc de faire des recherches, d’économiser aussi sur les indemnisations (il y en a eu très peu, mais il y en a eu, preuve que l’Etat, au grand dam des laboratoires, reconnaissait l’accident post-vaccinal).
8) le chantage à l’inconséquence des Français qui seraient les seuls au monde à se plaindre d’accidents vaccinaux (il y a des dizaines de milliers d’accidents aux Etats-Unis, au Canada, en Italie, dans tous les pays qui ont massivement vacciné. Très peu au contraire en Grande-Bretagne qui n’a vacciné que 5% de sa population
(...)
la thèse assez désagréable selon laquelle il valait la peine de faire un "déchet" (sic) de quelque milliers de victimes pour en sauver des millions (de quoi ? d’un virus qui avait pratiquement disparu avec les mesures prises pour enrayer le Sida et les maladies nosocomiales transmises par une mauvaise gestion du sang).
(...)
"Le Dossier Noir" montre aussi comment l’assurance-maladie a été ruinée, non seulement par la campagne de vaccination elle-même (où P.D.B a joué un rôle majeur) mais par la montée astronomique des affections de longue durée (ALD) qu’elle a occasionnées depuis 1996
*CLIC: « Le Dossier Noir du Vaccin contre l’Hépatite B, mensonge d’Etat ? », éditions du Rocher, octobre 2004
*LIRE AUSSI, en complément, La vaccination contre l’hépatite B : une affaire de racaille ? sur une tribune citoyenne.